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20 novembre 2010 6 20 /11 /novembre /2010 23:34

 

 

Anderson Phil : (1958) coureur cycliste pro australien surnommé Le Kangourou parce qu'il avait les poches de son maillot sur le ventre et non dans le dos.

 

 

Anquetil Jacques : (1934/1987) premier quintuple vainqueur du Tour de France*. Il a fait chier Raymond Poulidor* toute sa vie en l'empêchant de gagner le Tour de France* et de porter le Maillot Jaune*. Surnommé Maître Jacques, il était Normand comme Le Docteur Q*, surnommé, lui, Maître Kanter, qui fait chier les gars du Pinesagouël Cyclo Club* en gagnant toutes les cyclo-sportives.

famille-anquetil

avec l'aimable autorisation de Philippe Tastet

  

antioxydant: Voici l'explication la plus compréhensible, fournie par les professeurs Pontonier et Quesnel du Pinesagouël Cyclo Club*, pour comprendre pourquoi un cycliste a besoin d'antioxydant. L'oxydation fait partie d'une réaction d'oxydo-réduction qui peut produire des radicaux libres en annihilant ainsi leur action. Tous les cyclo-sportifs savent pertinemment, que ces propriétés se trouvent beaucoup dans les familles des thiols et desphénols. Les plantes et les animaux utilisent et produisent de nombreux antioxydants pour se protéger, tels le glutathion, les vitamines C et E, ou des enzymes comme la catalase, la superoxyde dismutase et certaines peroxydases. Une déficience ou une absence de production d'enzymes antioxydantes entraîne un stress oxydatif pouvant endommager ou détruire les cellules. De même, l'organisme du cycliste est capable de produire, à partir de l'acide aminé cystéine, un antioxydant puissant, l'acide alpha-lipoïque, encore appelé lipoate.

Bien sûr, les adhérents des cyclo-clubs* savent tous que les antioxydants les plus connus sont le ß-carotène (provitamines A), l'acide ascorbique, le tocophérol, les polyphénols et le lycopène qui incluent les flavonoïdes, les anthocyanes, les acides phénoliques et surtout les tanins puisqu'ils ne partent jamais faire leur sortie dominicale sans en avaler.

BREF ! Il y a bien longtemps qu'ils ont compris qu'un petit coup de vin rouge jeté derrière la cravate est un antioxydant à prendre pendant un TGV*.

Oui, mais voilà, en absorber trop, produit une réaction contraire au résultat escompté. Jeannot Sanfocolletaz et Pascal Clermont, du Pinesagouël Cyclo Club*, peuvent en attester. Lors d'un TGV*, le contenu de la bouteille de rosé qu'ils se sont empifrée tous les deux à la Moraine de Garin, dans la descente du Col de Peyresourde, s'est retrouvé, quelques kilomètres plus loin, au fond du fossé. Ces deux là ont une de ces descentes que beaucoup n'aimeraient pas faire en vélo.

Ce jour là, ils étaient tous les deux occis dans le Peyresourde.

Conclusion, après analyse par le laboratoire de lAgence Française de Lutte contre le Dopage (AFLD) : le rosé n'est pas du vin rouge !

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